La liberté intérieure malgré les peurs

La liberté intérieure malgré les peurs

La puissance de l’autonomie

En tant que médium, j’essaie de communiquer autour de l’importance de notre réflexion, comme un acte d’autonomie puissant.

C’est la quintessence même de notre incarnation.

 Dans mon premier livre, j’ai transmis beaucoup de messages qui nous aident au quotidien, qui nous guident, qui nous obligent à aller chercher en nous les solutions aux difficultés rencontrées. 

  • Il est essentiel que vous compreniez que vos actions impliquent votre vie future.
  • Nul ne peut prévoir l’avenir et pourtant. Vous devez savoir que seul l’amour sauve les êtres.
  • Gardons confiance en nous.
  • La peur est mauvaise conseillère.

Gardons confiance en l’avenir.

Acceptons de ne pas tout savoir.

Acceptons de ne pas tout comprendre.

Dans mon deuxième ouvrage, à paraitre prochainement, vous découvrirez des exemples vécus qui montrent à quel point nos choix guident nos vies.

Même lorsque nous sommes confrontés à des défis mystérieux ou apparemment insurmontables, nous détenons toujours le pouvoir de rechercher des solutions en nous-mêmes.

Briser les chaînes de la pensée limitante

Beaucoup d’entre nous sont confrontés à leurs peurs, leurs doutes dans les épreuves. C’est normal !

Accepter notre fragilité est une marque de grand courage.  

Plus vous comprendrez votre façon d’être, d’agir voire de réagir, plus vous parviendrez à briser toute emprise sur vous.

N’hésitez pas à vous faire aider, ce n’est pas un signe de faiblesse, au contraire !

L’accompagnement vous permettra de trouver la force intérieure qui vous anime depuis votre naissance. Vous saurez ainsi résister à toute tentative de manipulations.

La mer comme métaphore de la Liberté

J’aime me promener sur le sable, me baigner. Cela me ressource.

Lorsque je regarde l’horizon, un sentiment de sérénité m’envahit. Je ressens la connexion à quelque chose de plus grand que moi.

Même lorsque nous sommes confrontés à une mer agitée, nous pouvons décider de naviguer et de maintenir notre cap.

Au préalable, nous aurons appris à nager, à mettre un gilet de sauvetage, à lire une boussole, à écouter la météo, à réfléchir avant d’agir.

Cette connaissance nous fera gagner en liberté de choix.

En conclusion : La liberté au coeur de notre être

La liberté est une notion bien vivante dans nos cœurs.

C’est une réalité profondément enracinée en chacun de nous.

Peu importe les défis auxquels nous sommes confrontés, nous conservons la capacité de penser, de ressentir nos émotions et de passer ou pas à l’action.

Entourons-nous de personnes aimantes, bienveillantes qui sauront être des phares dans la nuit quand celle-ci se présentera.

Nous choisirons seuls de nous diriger vers ce havre de sécurité si nous le souhaitons vraiment.

Nous restons responsables de nos décisions.

 

 

 

“La peur éloigne le bien…”

“La peur éloigne le bien…”

“La peur éloigne le bien, le bien éloigne la peur.”

Qui n’a jamais eu peur !

La peur nous accompagne tout au long de notre vie. Dès la naissance, des études ont montré que le sang prélevé sur le cordon ombilical contenait un taux d’hormones de stress très élevé.

C’est une émotion primaire qui est là pour nous protéger en nous informant qu’il se passe quelque chose de dangereux pour nous. Elle nous permet de nous mettre en protection, de nous sauver de certaines situations. Elle peut aussi engendrer une communication agressive, parfois aussi une absence de communication.

Le bien c’est notre capacité à gérer nos peurs, notre capacité à les dépasser, d’avancer sur notre route en confiance. Une forme de transcendance peut être vécu si nous parvenons à faire confiance en la vie.

Quand nous perdons un proche, nous ressentons de la tristesse. C’est normal n’est-ce pas ? Et pourtant parfois, c’est la peur qui se cache derrière ces larmes : la peur de la solitude, la peur de ne pas pouvoir faire face à l’absence, la peur de l’inconnu …C’est le même processus qui est engagé lorsque nous changeons d’emploi, quand nous déménageons, que nous quittons notre partenaire … même si c’est notre choix. Un vrai processus de deuil doit s’opérer. Si nous acceptons ou devrais-je dire si nous accueillons ces changements dans nos vies, seule la tristesse s’exprimera. La tristesse qui nous permet de tourner les pages de notre vie. Nous pourrons appréhender cette notion de « bien », d’espérance, de confiance en nous, en l’autre, en la vie.

Nous devons lutter contre ces peurs. Nous devons mobiliser toute notre aptitude à la résilience pour y parvenir. La peur sait utiliser les « méandres obscurs » de notre être pour arriver à notre cœur. La peur est mauvaise conseillère. L’ignorance ne peut qu’amplifier la peur et induire des comportements dysfonctionnels. N’oublions pas que la peur n’est pas un guide, c’est un indicateur. Apprenons à nous connaitre vraiment, avec la sincérité du cœur. Nous pourrons ainsi trouver le calme, la tranquillité intérieure, la seule capable de nous permettre d’avoir une analyse juste de ce que nous vivons. Nous saurons trouver le mot juste pour exprimer ce que nous ressentons. La peur nous enferme dans des certitudes, le bien nous libère par la connaissance de nous-mêmes, ouvre notre esprit et notre cœur. « La peur éloigne le bien, le bien éloigne la peur. » C’est un véritable chemin d’apprentissage de vie et d’ouverture du cœur.

L’hyperempathie est-elle une force ?

L’hyperempathie est-elle une force ?

Ma réponse est OUI !

Ces personnes hyperempatiques captent les émotions de tout un chacun. Elles prennent “tout à coeur”. Elles sont parfois appelées des “éponges”. Il est vrai qu’il est difficile de faire la part des choses entre ce que l’on vit et ce que l’on ressent, ce qui est et nos intuitions. Bien souvent, le plus difficile est d’accepter cette spécificité de notre caractère et apprendre à la gérer. Pourtant, cette sensibilité nous permet une compréhension plus large, et donc plus complète, de ce que nous vivons et de ce qui nous entoure, tant dans notre vie personnelle que professionnelle.

Je vous recommande la lecture du livre d’Anne Landry, psychanaliste : ” L’hyperempathie, révéler ce don extraordinaire et le développer.”

Ma toute première vidéo sur YouTube !

Ma toute première vidéo sur YouTube !

Je suis heureuse de vous présenter ma toute première vidéo postée sur YouTube !

Vos avis et commentaires si vous souhaitez me les donner me permettront de me positionner pour la video suivante 🙂

A très vite !

Catherine

J’écris mon livre

J’écris mon livre

Le temps passe! J’ai passé beaucoup de temps à l’écriture de mon livre sur la spiritualité “Nomme-moi ton ami d’en haut”. 

Au cabinet, force est de constater que le positionnement reste, pour beaucoup d’entre nous, un épineux sujet.

La peur de faire mal à l’autre, la crainte de ne pas savoir gérer nos propres émotions demandent un regard bienveillant sur nous-mêmes pour faire face à cette évolution de notre approche relationnelle à autrui.

Rien d’impossible. Gardez confiance en vous, en la vie.

De l’importance du sommeil

De l’importance du sommeil

« La pratique rend parfait » dit le dicton. 

Plus vous vous exercez au piano, à parler une langue étrangère, (à parler en public) ou à jongler, plus les circuits correspondants se solidifient.

Pour cela, nous pratiquons “l’élagage synaptique” pendant le sommeil. Les cellules de votre cerveau se nettoient automatiquement pendant le sommeil.

COMMENT ?

Quand vous dormez, votre cerveau se nettoie – vos cellules cérébrales se rétrécissant jusqu’à 60% pour faire de la place aux jardinières gliales qui débarquent et vous débarrassent des déchets et élaguent les synapses.

Comme un jardinier le fait pour avoir un jardin toujours plus beau.

Vous est-il déjà arrivé de vous réveiller après une bonne nuit de sommeil et de pouvoir réfléchir clairement et rapidement ?

C’est que tout cet élagage et l’augmentation de l’efficacité des circuits qui se sont faits durant la nuit vous a fait beaucoup de place pour acquérir et synthétiser de nouvelles informations – en d’autres mots, pour apprendre.

C’est aussi la raison pour laquelle les siestes sont si bénéfiques à votre capacité cognitive. 

Une sieste de 10 à 20 minutes donne la chance à vos jardinières microgliales de débarquer, de supprimer des connexions inutilisées et de faire suffisamment de place pour que de nouvelles connexions s’instaurent.

Réfléchir avec un cerveau qui manque de sommeil c’est comme se faire un chemin en pleine jungle équatoriale avec une machette. C’est très dense, on avance lentement et c’est exténuant. Les branches se chevauchent et empêchent la lumière de passer.

Réfléchir avec un cerveau bien reposé c’est comme marcher joyeusement dans Central Park ; les sentiers sont clairs et se croisent à des endroits précis, les arbres ont leur place et vous pouvez voir loin devant vous. C’est VIVIFIANT !

Si vous passez trop de temps à lire des théories sur la fin de Game of Thrones et très peu sur votre travail, devinez quelles sont les synapses qui seront marquées pour recyclage ?

Si vous êtes en conflit avec quelqu’un au travail et que vous gaspillez votre temps à savoir comment vous venger au lieu de penser à l’important projet sur lequel vous travaillez, vous allez vous retrouver avec une synapse superstar pour des complots revanchards mais un esprit peu innovateur.

Pour bénéficier du système naturel de jardinage de votre cerveau, vous n’avez qu’à penser à ces choses qui vous sont importantes.

Vos jardinières sauront renforcer ces connexions et élaguer celles qui vous intéressent moins. C’est ainsi que vous aidez le jardin de votre cerveau à fleurir.