J’écris mon livre

J’écris mon livre

Le temps passe! J’ai passé beaucoup de temps à l’écriture de mon livre sur la spiritualité “Nomme-moi ton ami d’en haut”. 

Au cabinet, force est de constater que le positionnement reste, pour beaucoup d’entre nous, un épineux sujet.

La peur de faire mal à l’autre, la crainte de ne pas savoir gérer nos propres émotions demandent un regard bienveillant sur nous-mêmes pour faire face à cette évolution de notre approche relationnelle à autrui.

Rien d’impossible. Gardez confiance en vous, en la vie.

De l’importance du sommeil

De l’importance du sommeil

« La pratique rend parfait » dit le dicton. 

Plus vous vous exercez au piano, à parler une langue étrangère, (à parler en public) ou à jongler, plus les circuits correspondants se solidifient.

Pour cela, nous pratiquons “l’élagage synaptique” pendant le sommeil. Les cellules de votre cerveau se nettoient automatiquement pendant le sommeil.

COMMENT ?

Quand vous dormez, votre cerveau se nettoie – vos cellules cérébrales se rétrécissant jusqu’à 60% pour faire de la place aux jardinières gliales qui débarquent et vous débarrassent des déchets et élaguent les synapses.

Comme un jardinier le fait pour avoir un jardin toujours plus beau.

Vous est-il déjà arrivé de vous réveiller après une bonne nuit de sommeil et de pouvoir réfléchir clairement et rapidement ?

C’est que tout cet élagage et l’augmentation de l’efficacité des circuits qui se sont faits durant la nuit vous a fait beaucoup de place pour acquérir et synthétiser de nouvelles informations – en d’autres mots, pour apprendre.

C’est aussi la raison pour laquelle les siestes sont si bénéfiques à votre capacité cognitive. 

Une sieste de 10 à 20 minutes donne la chance à vos jardinières microgliales de débarquer, de supprimer des connexions inutilisées et de faire suffisamment de place pour que de nouvelles connexions s’instaurent.

Réfléchir avec un cerveau qui manque de sommeil c’est comme se faire un chemin en pleine jungle équatoriale avec une machette. C’est très dense, on avance lentement et c’est exténuant. Les branches se chevauchent et empêchent la lumière de passer.

Réfléchir avec un cerveau bien reposé c’est comme marcher joyeusement dans Central Park ; les sentiers sont clairs et se croisent à des endroits précis, les arbres ont leur place et vous pouvez voir loin devant vous. C’est VIVIFIANT !

Si vous passez trop de temps à lire des théories sur la fin de Game of Thrones et très peu sur votre travail, devinez quelles sont les synapses qui seront marquées pour recyclage ?

Si vous êtes en conflit avec quelqu’un au travail et que vous gaspillez votre temps à savoir comment vous venger au lieu de penser à l’important projet sur lequel vous travaillez, vous allez vous retrouver avec une synapse superstar pour des complots revanchards mais un esprit peu innovateur.

Pour bénéficier du système naturel de jardinage de votre cerveau, vous n’avez qu’à penser à ces choses qui vous sont importantes.

Vos jardinières sauront renforcer ces connexions et élaguer celles qui vous intéressent moins. C’est ainsi que vous aidez le jardin de votre cerveau à fleurir.

Les émotions font partie intégrante de notre être

Les émotions font partie intégrante de notre être

Mais au fond, que savons nous vraiment d’elles? A quoi servent elles et que sont elles?

J’ai décidé d’organiser une présentation gratuite et ouverte à tous pour partager avec vous ce que j’ai moi-même appris au cours de ma vie professionnelle et lors de mes différentes formations.  Ces rencontres, d’une durée de 2 heures, se voudront aussi un moment d’échange et de partage.

Voici les dates pour le mois de décembre:
vendredi 1 décembre de 19h à 21h
samedi 9 décembre de 9h à 11h
vendredi 15 décembre de 19h à 21h
samedi 16 décembre de 9h à 11h.

N’hésitez pas à me contacter soit par mail, soit directement par téléphone.  Si vous êtes disponibles en dehors des dates prévues, dites le moi afin que je puisse organiser d’autres rencontres qui vous conviendrez mieux. 

A bientôt. 
Catherine

Le cerveau ne fait pas de différences

Le cerveau ne fait pas de différences

Pour le cerveau, comme si = comme c’est. Le cerveau ne fait pas la différence entre le réel, l’imaginaire, le virtuel, la symbolique.

Quand nous travaillons dans un environnement conflictuel, même si nous ne sommes pas directement concernés, même si nous faisons le choix de ne pas nous en mêler, notre cerveau observe, entend, ressent à travers tous nos sens. 

Toutes ces tensions accumulées font qu’à la moindre épreuve, nous allons réagir de façon surprenante, peut-être même de façon disproportionnée, comme si nous avions été nous-mêmes directement concernés par les évènements. 

Le cerveau ne sait pas gérer le stress. Les émotions se vivent dans le corps. Quand le stress se fait trop intense, nous voulons changer de poste, de fonction mais finalement, le corps s’arrête, nous devons nous mettre en position de repli, de survie, en arrêt maladie. 

Ne rien dire, ne rien voir, ne pas intervenir ne nous protège pas d’une grande souffrance face à ce que nous ressentons comme une grande injustice. 

La solution? N’acceptons pas tout ce qui se passe autour de nous car cela nous impacte aussi surement que si nous étions les acteurs des évènements qui se déroulent sous nos yeux. 

Osons dire que cela nous dérange, restons positionnés, clairs.
Nul ne peut laisser parler le mal sans agir. 
Vous ressortirez de cette épreuve grandit, fiers de vous. 
Votre confiance en vous sera renforcée.

Burn-out, la maladie des efficaces

Burn-out, la maladie des efficaces

De nos jours, beaucoup de personnes souffrent au travail. Quand le burn-out s’installe, le risque de dépression est réel. Le burn-out, aussi appelé « la maladie des efficaces », désigne un épuisement émotionnel, physique et mental. Les personnes touchées sont des personnes engagées, consciencieuses dans ce qu’elles font.

Si le burn-out se rencontre très souvent au travail, il peut aussi toucher toutes personnes investies dans leurs activités : le sport, les associations … Environ 7% de la population est touchée par le burn-out, selon des études menées en Allemagne et en Finlande entre 2005 et 2006 » : source : burnout-info.ch Cet état s’installe de façon insidieuse. La charge de travail augmente lentement mais surement.

La fatigue s’installe.
Comme les heures d’une journée, notre résistance au stress n’est pas extensible. Toujours connectées à notre milieu professionnel : ordinateur, mail, téléphone… nous continuons à travailler à domicile, en vacances. Avec la fatigue, notre humeur s’altère. Notre qualité de sommeil aussi, tant en quantité qu’en qualité. Nous sommes moins souriant, moins avenant, moins réceptif, irritable, parfois intolérant. Notre entourage proche commence aussi à souffrir de cette situation. Nous commençons à devenir maltraitant. Nous devrions pouvoir dire « stop » à ce moment-là, même si c’est déjà un peu tard !

Ceci n’est pas une fatalité. Notre vie professionnelle résonne sur notre vie personnelle. Si l’organisation au travail, le positionnement hiérarchique, enclenchent ce processus, il résonne sur un fonctionnent induit par notre éducation.

Nous ne sommes qu’une seule et même personne : avec notre famille, au travail, avec nos amis… C’est une utopie de penser que nous pouvons faire complètement abstraction d’une partie de nous-mêmes à différents moments de la journée.

Nous essayons de maintenir un ordre extérieur alors que le chaos s’installe à l’intérieur de nous. Le risque majeur est la dépression. Beaucoup d’arrêts maladie sont prescrits pour permettre aux personnes de s’arrêter, de souffler, de « couper » avec le monde professionnel, pour se REPOSER, se remettre sur pieds.

Mais cela n’est pas suffisant sur la durée. Les mêmes causes ayant les mêmes effets, la personne qui ne prend pas le temps nécessaire à la réflexion sur son fonctionnement, retombera dans le piège de l’hyperactivité.  

La polyvalence, l’efficience ne peuvent se concevoir que dans une connaissance juste de qui nous sommes. Nous saurons ainsi où sont nos limites, comment gérer un surcroit de travail, répondre aux exigences de notre entreprise sans nous mettre en danger.